Le savoir-faire du chirurgien esthétique tunisien va être d’enlever le maximum du surplus de peau en gardant une cicatrice sans trop de tension entre les bords. Et là aussi, la face externe est plus compliquée même si la face interne est une zone sollicitée par les mouvements ; il faut donc faire attention à ne pas compliquer le post opératoire avec des cicatrices risquant de s’élargir si la tension est trop élevée.
Les fumeurs doivent impérativement arrêter le tabac (au moins 3 semaines avant et 3 semaines après)
Il s’agit de supprimer un surplus cutané au niveau de la face interne ou externe des cuisses.
La finesse du derme de la face interne des cuisses donne à cette zone une fragilité et une facilité à se distendre par les variations de poids ou par l’effet du vieillissement. De plus, cette région contient une zone de graisse profonde répondant mal aux régimes.
Quand la peau est de bonne qualité, une liposuccion seule peut suffire à l’obtention d’un résultat satisfaisant. En revanche, si la peau est détendue, seul un lifting des cuisses pourra la remettre en tension.
Le lifting crural ou lifting de la face interne de la cuisse consiste en remise en tension de la peau des cuisses lorsqu’elle est relâchée, souvent associée à une liposuccion lorsqu’il existe un excès graisseux résiduel. Il arrive que le relâchement cutané soit à l’origine d’une gêne esthétique voire fonctionnelle dans les cas plus importants avec gêne à la marche, frottements, irritation, macération.
L’indication doit être soigneusement posée afin de ne pas faire une chirurgie esthétique inutile.
Nous nous efforcerons de bien orienter les patients vers soit la liposuccion seule, soit vers le lifting des cuisses associé.
L’intervention se pratique sous anesthésie générale de 2 à 3 heures.
Tous actes chirurgicaux, des complications rares sont possibles.
Il faut distinguer les complications liées à l’anesthésie de celles liées au geste chirurgical esthétique.
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En ce qui concerne le geste chirurgical, il faut noter :
De très rares cas d’accidents thrombo-emboliques (phlébite, embolie pulmonaire). Des mesures préventives rigoureuses en minimisent l’incidence: port de bas anti-thrombose, lever précoce et traitement anti-coagulant.
Pour conclure, il ne faut pas surévaluer les risques, mais simplement prendre conscience que toute intervention chirurgicale, pratiquée en Tunisie comme dans n’importe quel pays, comporte toujours une petite part d’aléas.